115 ,5 m de long pour à peine 15 de large ; les mensurations du Star Flyer sont assurément superbes de finesse et d’élégance. Construit en 1991, sa décoration reflète celle des gréements du XIXe siècle : acajou et teck, marbre et cuivre. Si la majorité des cabines – 78 sur 95 – sont extérieures, elles sont plutôt petites mais avec suffisamment de rangements. Le service est à la hauteur de l’attente de la clientèle : efficace sans être obséquieux. Pour preuve, pas de dress code imposé, ni service et place dans la belle salle de restaurant. On peut même partager, lorsqu’ils sont là, le dîner avec les officiers. On y prend les 3 repas, sous forme de buffet très varié (continental pour les lève-tôt dès 6h30 ) pour le petit déjeuner – et le déjeuner et à la carte le soir. A midi, on peut souvent profiter des tables en extérieur. On […] Lire +
Il faut aimer la navigation – ça peut tanguer ! -, savoir s’abandonner à la tranquillité tout en ne cherchant pas des activités par dizaine pour apprécier une croisière sur Star Clipper. Par ailleurs, elles sont plus adaptées aux couples qu’aux familles et mieux vaut être anglophone.
Nous venons faire une croisière sur le Star Flyer. Ce bateau est magnifique. Mais les prestations offertes ne valent pas le prix demandé, c'est vraiment très ordinaire que ce soit la restauration et l’hôtellerie. Aucun accueil à l'arrivée, il faut vous débrouiller par vous-même. L'ambiance avec l'équipage est très froide. Mais le plus grave touche à la sécurité lors des débarquement en chaloupe. Du fait du manque de personnel pour gérer ces débarquements mon épouse se retrouve avec une double fracture de l'humérus et a du être hospitalisée. Pas de médecin à bord mais un simple infirmier qui ne connait que l'aspirine. Conscient de ce manque de sécurité, le commandant a décidé d’arrêter tous les débarquements. Ne parlons pas de l'accueil qui est inexistant, débrouilles-toi, la restauration quelconque et les cabines plus que petites et très ma agencé. Passez votre chemin et trouvez une autre compagnie.. Pas de médecin à bord mais un simple infirmier qui ne connait que l'aspirine. Nous vous déconseillons fortement cette compagnie.
115 ,5 m de long pour à peine 15 de large ; les mensurations du Star Flyer sont assurément superbes de finesse et d’élégance. Construit en 1991, sa décoration reflète celle des gréements du XIXe siècle : acajou et teck, marbre et cuivre. Si la majorité des cabines – 78 sur 95 – sont extérieures, elles sont plutôt petites mais avec suffisamment de rangements. Le service est à la hauteur de l’attente de la clientèle : efficace sans être obséquieux. Pour preuve, pas de dress code imposé, ni service et place dans la belle salle de restaurant. On peut même partager, lorsqu’ils sont là, le dîner avec les officiers. On y prend les 3 repas, sous forme de buffet très varié (continental pour les lève-tôt dès 6h30 ) pour le petit déjeuner – et le déjeuner et à la carte le soir. A midi, on peut souvent profiter des tables en extérieur. On emprunte un livre à la bibliothèque, on y joue aussi. On fait la planche dans l’une des deux piscines ou on grimpe en haut du mât, soigneusement harnaché. Le soir, on se retrouve, en couple ou entre amis, à l’un des deux bars pour un cocktail sur fond de musique ou sous les étoiles pour mieux écouter le chant des vagues.
C’est sûr, on arrivera quelques jours avant d’embarquer, car les ports qui desservent l’ouest des Caraïbes, ont beaucoup à offrir :
Embarquement et débarquement Les croisiéristes arrivent au port de Palma. Il est situé en face de la vieille ville. Les passagers