CR : La Grèce antique et les météores 03-16 novembre 2015 Costa NéoRomantica
• 3 novembre Lyon-Marseille
Tout commence ce mardi 3 novembre au départ de Lyon Saint Exupéry en TGV Ouigo Hôtel réservé, chambre Ok, nous allons au MUCEM. Inauguration de l’exposition temporaire « J’aime les panoramas ». Beaucoup de monde pour ce vernissage, difficile de se faire une réelle opinion. Nous avons cependant pu apprécier quelques toiles. Sur l’esplanade du Mucem le cirque Bouglione s’installe. Superbe chapiteau, matériel flambant neuf. Dîner sur le vieux port.
• 4 novembre Marseille
Taxi vers 12 heures pour le terminal de croisières. (26,50 €). Enregistrement et embarquement rapides. Nous sommes informés que la cabine ne sera disponible qu’à 13h30. Nous sommes attendus au buffet Giardino pour nous restaurer en attendant. Nous sommes dirigés tout au long du périple qui nous conduit au restaurant. Comment se perdre ? Les boissons au restaurant sont comptabilisées sur notre bonne foi à l’annonce du N° de cabine. En fait la cabine et les bagages étaient déjà disponibles vers 13 heures. Nous y trouvons la carte Costa et nouveauté pour nous : plus de Drill card. Une lettre d’information nous précise un changement d’itinéraire. En raison d’une grève générale à Athènes le 12 novembre, l’ordre des escales sera modifié. Nous accosterons d’abord à Athènes et ensuite à Volos. Cela fera deux journées consécutives en mer entre Volos et Trapani. Le Today a disparu au profit du « Diario di Bordo » plus concis. Nous demandons à la cabinière de transformer le lit matrimonial en lits jumeaux. (L’opération sera effectuée pendant le dîner). L’exercice obligatoire d’évacuation est annoncé aux environs de 16 heures. La majorité des embarquants s’y prépare dans la bonne humeur peu avant l’heure prévue. Les annonces générales en quatre langues sont faites à l’heure dite. La Costa card est scannée à l’arrivée à la Muster Station (d’où la suppression de la Drill card). A l’appel des 7+1 coups de sirènes d’autres croisiéristes se joignent -dans les délais impartis- aux voyageurs déjà présents. Coup de gueule de mon voisin de queue :
Lui : « Ils pouvaient pas venir plus tôt ? On crève de chaud »
Moi : Ils viennent peut-être à peine d’embarquer ou ils attendaient sagement les 7 coups de sirène.
Lui : « Ils ne les ont même pas faits »………. !
Sur les 8 coups il n’en a pas entendu un seul ? Surdité ou mauvaise foi allez savoir ?
Suivent les consignes dans les différentes langues et le coup de sirène final…. Mon voisin se défait de sa brassière et quitte la Muster station… il n’était donc pas sourd ! Ce premier soir, attente au restaurant Boticelli, les tables de deux sont attribuées plus rapidement, nous n’attendrons que 10 mn. 2 autres couples sont placés en même temps que nous. Reconnaissons qu’aucun d’entre nous n’a été exaspéré en affirmant que « d’habitude on a une table attitrée à un horaire défini » et que « cette nouvelle façon de procéder est un scandale ». Je vous fais grâce des autres réflexions sur les moyens de transport Parisiens et les cantines scolaires. Ces personnes là, bien que disposant d’un bipper pour être appelées le moment venu, bloquent l’accès au comptoir de réception du restaurant empêchant bon nombre de passagers de se présenter au maître d’hôtel. Dans la soirée, le dernier des 3 spectacles est annulé pour cause de santé de l’un des artistes. L’annonce est répétée plusieurs fois dans le cabaret.
• 5 novembre, Savone
Escale habituelle voire incontournable. Pour moi, salle de sport au réveil avant le petit déjeuner. Un petit tour en ville, c’est toujours aussi agréable de se perdre dans les ruelles et de flâner sous ce grand beau temps. Je vais à la forteresse Priamar que je n’avais jamais visitée. Si la vue sur la ville est très agréable et les abords bien entretenus, il n’en est pas de même pour le fort qui mériterait un meilleur sort. Après midi tranquille avant une nouvelle session au gymnasium. Ce soir, nous attendrons encore pour dîner, 15 mn mais cette fois avec le bipper. Très sages nous n’attendrons pas devant la porte mais au salon tout proche respectant en cela les conseils du maître d’hôtel français. Excellent dîner, le filet d’Angus est servi bleu selon mon souhait. Nous assistons au spectacle -ballets et chansons- qui ne nous laisse pas un souvenir impérissable malgré le beau tableau final (danses et musiques irlandaises). Du déjà vu l’an passé. Nous retrouvons nos billets d’excursions en arrivant à la cabine mais……pas de « couverture » ce soir et donc pas de Diario di Bordo. Le linge de toilette encore dans la douche. C’est une première pour nous. Je m’entretiens en portugais avec l’agent brésilien de la réception qui enregistre ma réclamation avec sérieux. Attendons la suite.
• 6 novembre, navigation jusqu’à Naples
Matinée Sportive, nous ne sommes pas nombreux à la salle de sport. Dans la matinée, la cabine est nettoyée à blanc, les draps sont changés. Nous avons un nouveau cabinier, ce dernier m’explique que le précédent a quitté le bord à Savone (rotation normale). Déjeuner rapide au buffet avant l’excursion Costa : « Centre historique et Naples souterraine ». Notre impression est mitigée. C’est une approche de Naples délibérément choisie, nous pensions ne pas avoir assez de temps pour Pompéi. San Severo et les citernes romaines méritent sans doute le détour mais en excursion individuelle. Sur le navire plus de 200 passagers ont opté pour une croisière thématique « Croisière du cœur et des merveilles… » sous le patronage d’un organe de presse. Ils bénéficient de conférences animées par des personnalités telles qu’entre autres Luc Ferry ou Stéphane Bern. La moyenne d’âge de ces croisiéristes est plus élevée que celle de ceux que nous côtoyons généralement. Un bon nombre souffre de mobilité réduite. Ce soir il n’y aura pas d’attente au restaurant. Tout le monde aurait il pris ses marques et admis le principe de l’horaire libre ? Ces deux derniers jours étaient les principaux jours d’embarquement/débarquement. Sans doute faut-il un moment d’adaptation, les moins âgés dînant peut-être plus tard. Le spectacle de magie et fantaisie correspond tout à fait à l’espace cabaret. Bonne prestation de Basilio TABACCHI, Le Hic c’est qu’il s’agit pour la deuxième fois consécutive d’une prestation déjà proposée l’année dernière lors de notre première croisière sur ce navire à la même époque. Ce soir la couverture est faite, une bouteille de Chianti nous attend, tout est rentré dans l’ordre.
• 7 novembre, navigation
Courrier dans la boîte à lettres, « Nous vous prions de bien vouloir vous présenter au HOSPITALITY SERVICE DESK…concernant le nettoyage». Il s’agit de connaître mes impressions et de savoir si j’ai obtenu satisfaction à la suite de ma réclamation. Bénéficierais-je d’un régime de faveur ?
Journée en mer les animations se succèdent, ventes flash, quizz, démonstrations culinaires, conférences, Bingo…. Pour moi salle de sport et bains à remous. J’aperçois Stéphane Bern très disponible avec tous les passagers qu’ils soient ou non badgés « Croisière thématique ». La soirée est tranquille, « Salut du commandant et de l’état major », spectacle de chansons internationales. Richard GREEN le chanteur maison un tantinet cabotin. Bel organe mais « mono-tone ! » et « mono-corde ! » La bouteille de Proseco et les chocolats Costa club nous attendent en cabine.
• 8 novembre, Kalamata
Journée ensoleillée, promenade tranquille dans la ville, le bateau est face à l’artère principale qui mène au centre ville, 30 mn à pieds. Ici aussi les commerces sont fermés le dimanche. De nombreux « estaminets » sont toutefois ouverts. C’est l’occasion de boire un Ouzo en terrasse. Nous passons au retour par le railway park. L’accès aux convois est libre, les tagueurs s’en sont donné à cœur joie, les voitures restent dans « leur jus » les rails sont envahis par les herbes folles. Nous déjeunons sur le bateau et profiterons du temps superbe aux abords de la piscine. Ce soir dîner au restaurant Club NéoROMANTICA. Sur le plan culinaire peu de différences par rapport au Boticelli mais décors et présentations de bon gout, service soigné sans ostentation et la surprise du gâteau d’anniversaire. Nous en oublierons le spectacle.
• 9 novembre, Nauplie
Le navire mouille en rade de Nauplie, le débarquement s’effectuera en chaloupes, nous avons pris nos tickets d’ordre de passage la veille. Les horaires nous ont été donnés à ce moment là à titre indicatif. Ils sont également mentionnés dans le Diario di Bordo. La bonne surprise : le débarquement est rapidement effectué ¾ d’heure avant l’horaire prévu. En ce qui nous concerne n’ayant pas d’excursion Costa nous avons un des derniers N° d’ordre soit un débarquement prévu après 12h00. Nous prendrons place dans la chaloupe à 10h50. Une passagère handicapée et en surpoids s’est précipitée pour sortir la première. Son pied droit n’a pas atteint le quai, rattrapée de justesse, les jambes entre le quai et la chaloupe, elle fut secourue et hissée par pas moins de 4 agents. Nous n’avons pas eu connaissance d’autres incidents. Adorable ville que Nauplie, luxe calme et volupté, après Naples et son bourdonnement, des ruelles paisibles et de grandes places d’une propreté quasiment Suisse. Un bus découvert hop on/hop off vous emmène au château Palamidi si l’ascension vous rebute. (5€). Un petit train fait aussi le tour de ville pour 4 € mais ne monte pas au château. Le front de mer est agréable, il faut prendre le temps de s’adonner aux coutumes locales, boire son café chaud ou froid ou son ouzo tranquillement attablé face à la baie. Ce soir sculpture sur glace et nuit blanche après un spectacle de danse auquel nous n’assistons pas. Nous appareillons vers minuit pour Athènes.
• 10 novembre, Athènes le Pirée
Vue à 180° sur le Pirée, Athènes et l’important trafic maritime depuis la salle de sport. Nous accostons, une fois n’est pas coutume au terminal B Thémistocle. Les bus d’excursions sont aux pieds du bateau. Les bus touristiques et les taxis également. Il y a même un arrêt du bus X80 pour Syntagma via Plaka et Acropole mais nous apprendrons très vite qu’il ne fonctionne pas en cette saison. Nous marchons donc jusqu’à l’arrêt du bus 040 que nous atteignons après 5 ou 600 m de marche. Ce bus suit un parcours quasiment identique à celui du X80 à l’exception près qu’il dessert tous les arrêts. Il faut donc prévoir trajet et attente une heure aller/une heure retour. 1,20 € par trajet. Ce sera donc ce matin « La porte d’Hadrien » et le temple de Zeus puis un petit tour dans Plaka avant le retour sur le bateau pour un après midi piscine/lecture et …..Sieste
Ce soir spectacle à marquer d’une pierre blanche. La prestation d’ANGELA BENN chanteuse à la voix envoutante qui entraine son public dans un voyage musical plein d’émotions. Le cabaret Vienna se prête totalement à ce genre de spectacle où l’artiste joue avec la proximité des spectateurs. Preuve en est que pour la première fois nous assistons à des rappels et à deux standing ovations sans sollicitation d’un quelconque animateur. Sans « applauso ! chers aux animateurs». Dodo, demain il faut se lever encore plus tôt, une grosse journée nous attend à Volos. Il est prévu que le NéoRomantica mouille en rade de Volos, le changement de programme nous oblige donc à utiliser les chaloupes. Nous sommes prévenus par un document déposé en cabine au début d’après midi. Les excursionnistes Costa n’ont pas de tickets d’appel à retirer.
• 11 novembre, Volos
Bonne surprise, le navire a été autorisé à accoster dans le port de Volos, pas de chaloupe, débarquement immédiat. Ce n’est pas une bonne surprise pour tout le monde. En attendant leur ticket de bus pour les excursions certains se plaignent d’avoir du se lever plus tôt (15 mn). En fait si l’information n’avait pas été donnée l’infime minorité de grincheux n’aurait pas eu matière à vociférer. Dans le cas contraire je vous laisse imaginer !!!!! Bref pour mon épouse une jolie ballade un peu fatigante (forte dénivelée à pieds) avec le train Moutzouris sur les pentes du Pelion suivie d’une excellente dégustation de produits locaux. Pour moi les monastères des météores. Excellent guide pour cette excursion Costa, paysages somptueux, visite très détaillée de deux monastères Varlaam moins difficile à atteindre que prévu et Agios Stéfanos. L’excursion incontournable de cette croisière, qu’elle soit organisée ou individuelle. Un déjeuner buffet de spécialités Grecques clôt cette journée d’excursion. Retour au navire en fin d’après midi. Une fois de plus je choisis du bœuf au dîner, vous aurez compris que je ne suis pas végétarien. (Tranche de bœuf au jus naturel et truffe noire) demandée bleue, arrivée bleue, découpée à la fourchette ; un régal. Mon épouse fera tout au long de la croisière une cure de poissons et crustacés. Je ne m’éterniserai pas sur le spectacle production Costa, musique et danses, beaux costumes mais trop c’est trop. Je crains que ces deux jours de mer à venir nous promettent encore ce genre de prestation.
• 12 novembre en mer
Une journée en mer. Tout le monde sur le pont, un soleil radieux, un vent faible, nous longeons les côtes grecques et quelques îles. Farniente, lecture, jeux de société, shopping, cours de danse ou de cuisine…. Beaucoup de monde à la salle de sport, quelques courageux (J’en suis) dans la piscine arrière et malheureusement toujours les mêmes squatters dans l’unique bain à remous accessible à tous. Bref une journée en mer ponctuée par le cocktail du Costa club, mondanité à laquelle nous ne participons plus. Queue interminable pour une flûte de Proseco, quelques petits fours et la photo du commandant. Nous comprenons cependant que le respect de cette tradition enchante d’autres croisiéristes. Nous n’assisterons pas au spectacle, les sempiternelles chorégraphies de la troupe sociétaire ont fini par nous lasser. Une animation plus tardive dite Burlesque…. Hélas de la même veine nous permettra de regagner plus tôt notre cabine.
• 13 novembre en mer
Réédition de la journée précédente hormis la soirée mondaine. Lecture au soleil, baignade. Déjeuner au restaurant (une daurade d’anthologie appréciée par l’ensemble des convives autour de nous) Visite du navire en compagnie de la responsable francophone. J’avais oublié de préciser que ce poste existe toujours contrairement à ce que j’ai pu lire sur de précédents commentaires, Aurélie en l’occurrence n’a rien de virtuel. Une fois de plus nous éviterons le spectacle. Le cœur n’y est pas nous venons d’apprendre les attentats de Paris.
• 14 novembre Trapani
Accostage à Trapani vu pour ma part depuis la salle de sport. Nous descendons dans la matinée visiter la ville s’étendant à nos pieds. Nous prenons le bus découvert qui fait un tour panoramique (12€) un peu cher pour un tour sans stop possible. Sans grand intérêt sinon qu’il permet aux personnes à mobilité réduite d’avoir un aperçu de la ville. Ce bus s’arrête toutefois régulièrement pour laisser prendre des photos mais les commentaires en différentes langues -dont le Français- sont inaudibles. La visite à pieds que nous faisons par la suite est très facile, certaines rues commerçantes et piétonnières sont très agréables. Les églises sont nombreuses. Nous avons eu la chance d’avoir encore du beau temps. Une lettre de condoléances pour les attentats de Paris nous attend dans la cabine. Une minute de silence sera observée à 17h30. Enorme moment d’émotion partagé par les croisiéristes et l’équipage. Les animations et le spectacle sont supprimés. Seule la musique gardera ses droits. Alors qu’un show musical aperçu en passant est diffusé sur grand écran dans le cabaret Vienna, cet espace est déserté au profit du Grand bar. Musique live et danse mais les conversations sont ce soir plus sérieuses.
• 15 novembre en mer
Cette dernière journée sera ponctuée par la réunion d’information sur le débarquement à Marseille et Savona et par deux spectacles de grande qualité. La prestation du ventriloque René LUDEN (supprimée la veille) et celle du chanteur Vick VICUS. Deux spectacles -je me répète- appropriés à l’espace scénique du grand bar ou du cabaret Vienna. La soirée se termine pour nous en assistant au concours Costa talent show faisant appel au « talent » des passagers. A la fin de sa prestation à l’harmonica l’un des participants joue une Marseillaise qui sera reprise par l’ensemble des spectateurs. Nouveau moment d’émotion réunissant dans un hommage spontané les ressortissants Américains, Italiens, Allemands, russophones et Français.
• 16 novembre Marseille
Les cabine libérées à 8 heures nous profiterons d’un dernier petit déjeuner au buffet et attendrons patiemment l’heure de notre débarquement différée d’une quinzaine de minutes. Nous retrouvons nos bagages sans souci et embarquons dans la deuxième navette Costa pour la gare Saint Charles. Nous retrouvons nos enfants qui viennent de faire une mini croisière sur le Fortuna. Débarqués avant nous ils avaient opté pour un taxi jusqu’à la gare. Devant l’attente prolongée des taxis, ils ont préféré se rendre à pieds jusqu’à l’arrêt du bus RTM avec connexion métro à la Joliette. Nous les avons attendus plus d’une heure. Après une assiette de pates (bien ordinaires après la multitude de pates et sauces différentes proposée à bord) nous avons pris ensemble le TGV Ouigo du retour.
Commentaires
• Cabine : Cabine spacieuse mais défaut au niveau des chevets fixes. Si l’on opte pour les lits jumeaux ceux-ci sont côte à côte et ne laissent pas d’accès au hublot. Propreté et entretien impeccable. Produits cosmétiques de base. Nous ne touchons pas au mini bar. Nous trouvons une bouteille d’eau à l’arrivée (facturable) et plaçons immédiatement cafetière expresso, tasses, verres, seau isotherme dans le placard laissant ainsi plus de surface disponible sur le bureau. TV grand écran plat interactive. Accès en français aux messages, excursions, compte et entre autres deux chaînes francophones. France 24 et TV 5 Monde.
• Espaces publics : Nous avions déjà apprécié ce navire l’an dernier. La décoration est sobre, loin du Kitch des gros bâtiments. Les salons confortables sont disposés de telle façon que vous pouvez aussi bien trouver un espace intime qu’un endroit convivial.
• Les restaurants :
Restaurant Boticelli, le restaurant principal, confortable et spacieux. Nous apprécions l’horaire libre. Nous n’y avons pris le petit déjeuner qu’une fois préférant y déjeuner ou dîner. Nous préférons être installés à bâbord ou tribord plutôt qu’au centre que nous trouvons plus bruyant.
Restaurant Giardino, buffet que nous consacrons au petit déjeuner, très grand choix de viennoiseries, plats chauds et froids et surtout la vue panoramique. Idéal au retour d’une excursion ou avant celles de l’après midi.
Restaurant Club, le service est toujours aussi attentionné, prestigieux sans ostentation. Au niveau culinaire la différence est moins importante qu’on le souhaiterait avec le restaurant principal. La qualité demeure, la carte est plus élaborée et la présentation est soignée. Cela permet un moment d’intimité propice à célébrer un évènement dans un cadre élégant et raffiné.
Pizzeria, Il n’y a pas de raison de s’en priver si vous n’avez qu’un petit creux ou voulez varier les plaisirs. Cadre sympathique fréquenté tard le soir par une clientèle plus jeune.
Nous n’avons pas utilisé le Grill et le restaurant Samsara
• Salle de sport
Bon équipement utilisé dans les règles prescrites (20 mn par appareil). L’avantage d’être situé à l’avant du navire, permet une vue magnifique au moment de l’approche et de l’accostage. Un regret : le sauna est partie intégrante du Samsara. J’appréciais d’y avoir accès sur le Pacifica.
• Piscines et jacuzzi
Ce mois de novembre si clément a permis à quelques courageux de se mettre à l’eau pour quelques brasses. On ne s’attend pas à un bassin olympique. Les ponts étaient envahis comme en pleine saison, transats et bains de soleil. Pour le bain à remous c’est une autre affaire, les places sont chères. Squat permanent, je n’ai pas encore compris l’utilité ou le bienfait de passer l’après midi dans l’eau chaude et bouillonnante. Je ne maitrise sans doute pas assez l’Italien. Le soleil disparu c’est bon de se trouver tout seul dans les bulles. Même pas froid en sortant….. Quoique !
• Animation
Ce n’est pas notre tasse de thé, jeux de pont, danse, si nous n’y participons pas, nous trouvons cela bon enfant et jamais très long. Je participe toutefois à certains quizz ou aux démonstrations culinaires.
• Fumeurs
Dieu merci les fumeurs (dont je ne suis pas, en fait ; plus et depuis longtemps) ont droit de cité, à tribord sur le Lido. Ils sont même rejoints par des non fumeurs car l’endroit n’est pas moins confortable qu’à bâbord et je dois le dire plus gai et convivial. Au pont neuf un très « cosy » fumoir ; Cognac & Cigar lounge fait face à la chocolaterie.
• Spectacles
Aïe ! L’absence de théâtre n’est pas préjudiciable, le cabaret Vienna est assez spacieux. C’est la programmation qui à notre goût laisse à désirer ? Quasiment 60% des spectacles sont assurés par la troupe du bateau, chorégraphies similaires, costumes et musiques différents mais trop c’est trop ! Le succès des artistes extérieurs confirme ce sentiment. Malgré leur bonne volonté, les chanteurs « maison » un tantinet cabotins font pâle figure face aux deux chanteurs invités. Cet avis est personnel, nous n’avons pas entendu de critiques à cet égard.
• Œnothèque
Toujours pas d’avis sur ce lieu que nous avons toujours trouvé désert et qui s’il semble confortable ne nous a jamais attiré. Nous pensons que la froideur et la rigidité du maître des lieux y sont pour beaucoup.
• Le casino
N’étant pas joueurs invétérés nous n’avons utilisé que les « machines à sous » hélas prévues pour les passagers anglophones, mais là comme ailleurs le personnel vous vient en aide très rapidement.
• Et l’ensemble du personnel
Toujours aussi attentionné à quelque poste que ce soit. Serveurs, barmen, maitres d’hôtel, cabiniers, animateurs, tous sont avenants allant même jusqu’à sourire et satisfaire les moindres désirs des plus odieux passagers. (Il y en a hélas quelques uns. Ceux la même qui voudraient monter dans l’ascenseur avant que vous-même ou le passager en chaise roulante n’en soit sorti). Je confirme la présence d’une représentante francophone, Aurélie en l’occurrence. Nos enfants confirment également la présence d’une responsable francophone sur le Fortuna.
Amabilité, écoute et efficacité à l’Hospitality desk et au bureau des excursions.
• Les ascenseurs
Sujet en partie abordé plus haut. Les choses sont bien faites les flèches signalent la montée ou la descente, qu’à cela ne tienne, on le prend. Qui me dira un jour s’il est plus confortable, moins long, plus amusant moins fatiguant, ou me donnera la raison pour prendre l’ascenseur montant quand on descend et vice versa. Figurez vous que les ascenseurs parlent et clignotent, au nombre de passagers qui en sortent au mauvais étage j’en conclus que le taux de surdité et de cécité augmente d’année en année.
• Forfait boisson et vins sélectionnés
Nous avons pris le forfait All inclusive toujours intéressant à nos yeux, certains vins au verre étant facturés plus de 8,50 € au restaurant et les cocktails 7,45 €. Des vins différents, un blanc, un rouge sont sélectionnés chaque jour en fonction de la région dont sont issus les plats proposés. Il faut spécifier le choix de ces vins à la commande. Si vous vous contentez de demander blanc ou rouge il vous sera servi tous les jours le même vin, certes honorable, mais de moins bonne qualité. Il faut être vigilent sur ce point, nos voisins de table ont toujours été surpris de se voir servir un vin différent du notre. Aucun n’avait remarqué la sélection pourtant mentionnée en gras sur le menu.
Mais oui Dauphin, ils ont faim ou ils s’ennuient à bord tout autant qu’à la maison.
Ils n’ont jamais le temps. Ils vous bousculent en entrant dans l’ascenseur lorsque vous essayez d’en sortir. Les avez vous vu monter dans le bus? Lors d’une distribution gratuite vous les verrez se disputer pour un Pins ou un porte clef dont ils possèdent déjà dix esemplaires. Vous les verrez également le caddy appuyé à la porte du supermarché avant l’ouverture.
Mais dans le fond ils ont ce comportement dans toutes les circonstances, peu importe puisque nous, nous avons le temps et que nous ne manquerons de rien sur le bateau.
Et quelque soit le navire nous trouverons toujours l’endroit calme où ils ne se posent jamais.
Néréïde a raison sur de nombreux points
Une croisière, ça se prépare. Prenez donc bien soin de choisir la saison, les périodes creuses et la situation de votre cabine.
Pour une première approche et afin de limiter votre budget, en effet il est préférable de choisir une cabine intérieure. A moins d’être claustrophobes vous trouverez votre bonheur. Le confort est rigoureusement identique et si vous contractez un tarif promotionnel (vous n’aurez pas le choix de cabine)vous risquez même d’être surclassés.
Personnellement je conseille de prévoir les excursions en compulsant bon nombres de guides et en lisant les différents avis de croisiéristes. en connaissance de cause vous pourrez acheter ou non les excursions proposées par l’armateur. Elles sont plus économiques achetées à l’avance.
Pour l’avoir expérimenté et chaque fois amorti, je conseille vivement d’acheter un forfait boisson(dépendant de votre hygiène de vie ou de votre irrépressible soif….!) Pour notre part c’est All inclusive.
Bien que vous puissiez éprouver beaucoup de plaisir à voyager, il faut savoir que les armateurs ne sont pas des philanthropes et donc à ce titre les boutiques et le casino, les espaces photos, les studios d’enregistrement et autres simulateurs de F1 sont leur fonds de commerce.
Mon avis diffère de celui de Néréïde, pour l’achat de la croisière Je privilégie le site de l’armateur et concrétise directement avec lui. Les conditions (promotions, négociations) sont tout aussi faciles et les règlements sécurisés.
Je ne parlerai que de mon expérience, 4 croisières Costa.
Jusqu’à preuve du contraire, Je pense que cette compagnie ne nous cache rien.
Je vais régulièrement sur le site WEB de la compagnie où je puise toutes les informations. Je commande également les brochures et suis abonné aux news letter.
Membre du Costa Club je suis également en contact régulier par téléphone ou par mail avec le même « Expert » toujours très réactif. J’ai eu droit à quelques faveurs autres que celles prévues contractuellement pour les membres du Costa Club.
Dès la première croisière, non encore membre du club, nous n’avons eu d’extra que des babioles achetées à la boutique. Aucun supplément à quelque titre que ce soit et même le remboursement immédiat d’une excursion annulée faute de croisiéristes francophones.
Avant de partir, nous renseignant sur le tarif des boissons nous avons pré-réservé le forfait all inclusive et pratiquons toujours ainsi y compris sur la Néocollection. Nous n’utilisons pas le wifi du bord. Les escales sont quasiment quotidiennes, mon téléphone mobile dispose d’une ….messagerie et mon forfait international n’est utilisé qu’a ces moment là et uniquement en cabine.
Je prends beaucoup de temps pour préparer nos voyages et je traite directement avec Costa. Ceci explique peut-être cela!
J’ai bien sur visité les sites des autres compagnies MSC principalement que je trouve moins lisible ou CDF qui n’est qu’informatif. Selon la destination je ne m’interdis pas de traiter avec MSC, j’ai un à priori défavorable pour les croisières Franco-Française CDF pour avoir côtoyé la mixité d’une partielle clientèle de l’ex TAAJ sur une croisière vendue majoritairement par Costa.
La compagnie de croisieres de toutes les superlatifs.
Un beau design pour un confort optimal : tout juste sorti des chantier Fountaine Pajot, le Sanya 57 est un catamaran
Tirez un bord au large du Venezuela et voilà les ABC. Les ABC ? Elles appartiennent aux Antilles néerlandaises, dont on