Si j’étais croisiériste ;
• Je choisirais ma croisière en fonction de la destination et des escales, et sauf à rechercher le tarif le plus attractif, je sélectionnerais la compagnie, le navire et la position de la cabine sur plan.
• Je lirais attentivement les catalogues ou visiterais de la même manière le site de l’armateur.
• Je lirais mon contrat, pour éviter toute surprise.
• Je me renseignerais donc sur les propositions de forfaits, sur les taxes (frais de séjour) sur le coût des interventions du médecin du bord etc.
• Et donc en connaissance de cause par exemple, Je ne serais pas surpris de me voir facturer …..comme au studio Harcourt …….pour me faire tirer le portrait ou ……..comme chez Partouche…… pour actionner les bandits manchots d’autant que je n’avais aucune obligation à céder à la tentation.
• Muni de mon dossier de voyage et de mon billet électronique je ne devrais pas avoir trop de mal –connaissant mon N° de vol- à trouver le comptoir d’enregistrement ou suivre le flot des passagers voyageant avec moi sur le vol affrété.
• Ma santé ou celle de mon compagnon de voyage étant précaire, je n’oublierais pas le traitement approprié -impérativement dans mon bagage à main et prévu pour une durée supérieure à la croisière-ainsi que les ordonnances et le dossier médical (sur clé USB étant l’idéal).
Pour illustrer le propos :
Retardés du 14 au 22 avril 2010 soit 8 jours de séjour en plus à Los Angeles à la suite de l’éruption du volcan Eyjafjöll, il ne manquait que deux jours de traitement facilement et rapidement prescrits par le médecin d’un dispensaire sur présentation des ordonnances et du dossier médical.
Nous n’avons eu aucune difficulté pour obtenir le remboursement au retour, nous nous déplaçons en Europe avec la carte Européenne d’assurance maladie.
